[Participatif] [Ulule] Maléfice ou la résurrection du Malin

Juste pour vous faire partager le Ulule visant à sortir la 4ème édition du jeu Maléfice. Ce jeu est le "petit" frère de l'Appel de Cthulhu. A la différence de ce dernier, il ne mise pas sur les horreurs venues d'ailleurs dans les années 30, mais sur le folklore rural et urbain à la Belle Epoque (1870-1914). Jeu français, il fait donc la part belle à la France et ses légendes. Nous en avions un exemplaire, il me semble. Il m'a souvent fait de l’œil (délicieusement ténébreux), mais AdC a toujours été le plus fort.

Donc, voilà, si cela peut donner envie, Arkhane Asylum Publishing espère sortir cette nouvelle édition. Perso, je vais sûrement craquer par esprit de collection.

Je vous donne le lien vers le Ulule :

---> Maléfice - 4ème édition

De mémoire, c'est surtout l'écran de jeu que l'on avait gardé.
Le jeu lui-même me souvient pas.

A se demander si l'écran ce n'était pas un don...

Si je me rappelle bien, on tirait des tarots lors de la création du perso
c étaitl un des premiers jeux a faire ca

Torei Enki a écrit:

De mémoire, c'est surtout l'écran de jeu que l'on avait gardé.
Le jeu lui-même me souvient pas.

A se demander si l'écran ce n'était pas un don...

Ah ? J'ai le souvenir d'une boite, moi. Mais je dois sûrement confondre.

Faust a écrit:

Si je me rappelle bien, on tirait des tarots lors de la création du perso
c étaitl un des premiers jeux a faire ca

A priori, tarot toujours présent. Et ça, c'est une bonne nouvelle.

Et avec un plus : "Le Grand Jeu de la Connaissance de vingt-deux cartes (appelé "tarot" par les profanes) sera toujours utilisé lors de la création des personnages, mais il sera également utilisable lors des parties, aussi bien pour déterminer des événements aléatoires, résoudre les conflits entre spiritualité et rationalité, que dans le cadre optionnel de la narration partagée, l'une des nouveautés proposées par cette nouvelle édition de Maléfices."

A voir, donc.

En tout cas, ça a l'air sympa dans la présentation.

@kaosfactor : mes souvenirs pour ce que ça vaut... Tu as certainement raison, c'est moi qui flanche